A la fin des années 1980, la commune québécoise de « Lac Beauport » située près de la ville de Québec, représentée par son Maire Michel Giroux, cherchait une commune française pouvant avoir des
affinités avec la cité canadienne : une population d’environ 5 000 habitants; une vocation résidentielle, récréative et touristique; une préoccupation environnementale élevée. La commune
recherchée devait aussi se situer dans une région montagneuse, près d’un lac et non loin d’une grande ville touristique. Sevrier correspondait à cette demande, mais il a été décidé d’associer Le
Grand Bornand, davantage orienté sur les activités de montagne. En 1990, une délégation de Lac-Beauport se rend sur les lieux. L’enthousiasme est tel que cette alliance à trois s’impose
immédiatement et dès 1991, un pacte d’amitié tripartite est signé.